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in the land of gods and monsters
ocytocine sur pourpre de lippes, qu'haleine furieuse exalte en belle faim. rictus pourléché, au gré du satané-battant; ô perles de ruine, font gémir ces saints, quand toxines en sanglots rincent les infâmes. et galopent, en fumeuses susurres, les échos d'une plèbe soufflée par pandore.
Newport, Oregon — forum city-gangs sombre low fantasy, époque actuelle. réservé à un public mature et averti -18
museum of sins v.1 — ouverture du forum au 02.11. version design du 17.09 thème new beginning par LUX.
saisons : témoin des âmes jaugées sous ses pupilles vitrées, quarante-six années de jugement malfamés.
myocarde : libérée du carcan d’une union qui aurait pu être bénie, divorcée à la rancœur enragée.
besogne : artiste peintre aux fresques d’un doigté empoisonné, puise l’inspiration dans les champs de vignes dont elle a hérité ; propriétaire viticole, coule rubis liquide pour les âmes opulentes d’oisiveté.
Ask not the sun Why she sets Why she shrouds her light away ________________
apostrophe Héritage rehaussé d'une sublime adjonction affiliée à une éclatante renommée ; madone des unions prohibées et des désirs inachevés, nilima à la mâchoire resserrée d'inimitié, fière de son étymologie antique, sanskrit pour dark blue, telle l'âme portée au creux d'un poitrail frigorifiée. Fille de mishra, nom profondément ancrée dans sa chair rutilant d'avidité aux résonances de ses origines chantantes de fierté.
berceau Gênes hétérogènes, maternité jamais côtoyée que sur des photographies et des récits jadis narrés dans une tendresse jalousée. Mère italienne à l’identité enrayée, là où elle naquit dans le secret d'une adultère honteusement dissimulée. Tandis que son sauveur l’a retirée de ses bras inhérents d’une famille enchaînées à leur principe ancestral de banditisme assumé. Pater indien, l’a élevé seul en combinant éducation fidèle à ses principes et professionnalisme obsédant d’intégrité.
saisons Terre-Mère incarnée, elle ne subit point les âges ; elle les enlace avec fermeté. Témoin des âmes qui glissent tel des souvenirs tout le long de ses quarante-six années, entre terre d’accueil et origines statufiées de drames amoncelés.
besogne Janus dyonisaque, masques d’apparats pluriels pour celle aux mille vies singulières. Artiste déguisée, peinture à l’huile tâchant la toile de ses pensées frelatées. Arbore ses murs de ses fresques, peplum macabre vivant sous ses phalanges charognards. Devenue propriétaire du vignoble de son père qu’elle avait délaissé le temps d’une de ses vies étincelantes de ténèbres huileux et colorés. Chapitre champêtre biaisé, montrant au profane les terres rurales en journée d’où elle puise son inspiration insondable pour les métamorphoser en galerie des glaces la nuit tombée.
myocarde Il s’est éteint, l’amour amoureux des autrefois bouillonnant d’intensité frôlant le sacré. Une tendresse transfigurée en hostilité fait qu’elle est maintenant divorcée. Libérée du carcan d'une union soi-disant bénie, elle privilégie depuis les relations évanescentes des hommes aguerris, assouvissant désir et affection mutuelle partagée sans la promesse de l’amour consacré.
Whenever it's cold let the shadows take hold ____________
miroir Hargne vorace, férocité de ses serres enfoncées sur ses paumes trouées d’ envie, désireuse et enflammant pulsions mordantes. Regard déviant, l’âme consumée par un cœur pourri, turpitude corrompue contribuant à faire de sa vie un malheur infini. Pupilles inconsidérées de dédain de ces autres maladivement convoitées de ce qu’elle désire ardemment posséder au détriment d’ e u x, ces rivaux créés par son mal-être putride d’infamie.
affection Complicité acerbe où les venins s’entremêlent pour s’y empoisonner mutuellement de leur suffisance amère, s’éprend des excès et de leur superbe, des gourmands et de leur maîtrise du faste acerbe.
affliction Miroir déformé de leur soi-disant émotions partagées, don prohibé des empathiques jaugé d’un marasme antipathique.
"and live within dreams revelad"
Tripes entortillées de marasme méphitique. Grosseur grognant cette e n v i e parasite en songeant à cette figure familiale qui lui a toujours échappé. Père autoritaire malgré sa bonté évidente face à sa fille-princesse. Volupté baignée d’une éducation où l’excellence a vite régné. Famille paternelle obsédée par ce rêve américain à une époque où les possibles étaient infinis. Des cousins aux souhaits d’être à sa place lorsqu’elle-même ne souhaitant que la leur dans un silence assourdissant de désir funeste. Ils ont une mère, pour elle qui ne sont que ses tantes qui l’enlacent d’un amour jamais reçu, d’une vie à jamais dépossédée lorsqu’elle aurait pu avoir, qu’elle aurait pu être parmi les siens dans un pays devenu avec malheur étranger au fil des années, s’éloignant davantage de ce qu’elle envie à s’en mordre les dents de son appétit inachevé. Dichotomie de ses désirs ; sentiment d’appartenance à jamais enfui.
Alors, elle s’est éloignée avec son allié le temps d’une féroce et provocante impudicité. Ne supportant plus l’hypocrisie du sang à qui tout réussit alors qu’elle baigne dans une eau de rose périmée d’émotions refoulées. Ne parvenant pas à réaliser sa propre déchéance émotionnelle face à leur maigre tentative de contact craintif. Préférant la réconfortante froideur d’un narcissisme au goût sucré.
(suite incoming)
behind the maskvisage; marty âge; still la trentaine étoiles; impostor leo last words; j'ai fini arcane and i am a mess, like, WOW, et me faut des chips right now (comment ça ya pas de rapport OUI ET ALORS) crédits; avatar (c) mooncalf, icons (c) soeurdelune.
Nilima Mishra
Dernière édition par Nilima Mishra le Mar 26 Nov 2024 - 10:21, édité 6 fois
Gigi Scaglione
— SWAN LAKE —
And after all, you better ask me why
Do I decide to try to say goodbye
…
trait : espérance décharnée laissant entrevoir chair de l'humanité aux mille beautés chimériques.
saisons : belle éphémère du jardin d'eden mortifère, de ses vingt-six pulsations s'engorge le fiel sacrilège.
myocarde : enlacée mais délaissée, menthé en sanglante réincarnation se laissant dévorer par les bêtes.
besogne : en adulation sans nom du savoir ancestral, tisse de ses mains l'or rouge glorifié sous regard sifflant de dynastie gloire, belles cuvées se dessinent sous psyché d'une héritière dévouée.
trait : loi vorace; clé de voûte d'une(( justice ))brûlante déferle et s'écrase contre rempart de ses convictions,,
saisons : blanches et noires font courirquarante-trois notesen feuilles tombées au creux automnal,,
myocarde : crève-cœur en deuil refuse de faire confiance à nouveau, joue morceausolitaireen oubli de la partition à quatre mains,,
besogne : au barreau(( avocat pénal ))joue le bourreau condamne et réclame ce qui est dû, faiblesse assumée des cas désespérés, se fait bras armé d'une juste cause,,
district : (( harbor ridge ))en intraveineuse, quartier change au fil d'une lassitude latente, jette dévolu sur lumière et effervescence d'une animation condamnée à errer sur bitume jamais se refroidi,,
TU DIS DES AUTRES QU'ILS FONT DES DC ET TOUT EN SOUMSOUM MAIS TOI AUSSI
ça drop direct sans prévenir là je meurs à chacune de tes création, t'as un don pour sublimer tout ce que tu écris teach me please because i Always fall in love nilima va pas échapper aux merveilles de ta prose et de ta poésie j'suis si heureuse de pouvoir en lire toujours plus de voir tout ce que ton cerveau a à nous offrir juste merci en fait ?? de nous faire voyager à chacune de tes créations jsp encore quoi te proposer ni avec qui but i need something with you krkrkrkr j'ai juste hâte de lire la suite en fait ? vite vite (non jdec, PREND TOUT TON TEMPS BEAUTY) t'es toujours aussi perfection ily
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bring it, a taste for irony has kept more hearts from breaking than a sense of humor ;;
Lewis Allingham
Shay Turner
BOLD PRINCE
♆ aussi loin que la brise et le flot écumeux
PARCOURENT CET ESPACE OÙ NUL N'HABITE ESCLAVE
trait : BRAVOURE DÉLIRANTE efface jugeote et sert ondes du destin sur plateau d'argent.
saisons : QUARANTE déferlantes affluent en raz-de-marée contre les rivages de son existence naufragée.
myocarde : CŒUR DE SILEX pour les épigones de sa dulcinée chapardée.
besogne : PASSEUR jusqu'aux récifs luxuriants, contrebandier enfle navire de frets et d'écrins viciés.
district : nid douillet aux allures de cénotaphe dans les artères d'un PORTVIEW affligé.
mais ce fc déjà. tu nous flanques encore une dinguerie sous les yeux. j'veux en lire davantage, j'veux crouler sous tes mots là. plz ne nous laisse pas comme ça, les rétines dégoulinantes de : ENCORE !
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I've seen angels, fall from blinding heights but you yourself are nothing so divine, just next in line ;;
trait : le corps brodé de pudeur - dentelle délicate d'un équilibre fragile où les émotions ne fleurissent qu'à la nuit tombée.
saisons : vieillesse de l'esprit engoncée dans une enveloppe qui n'en fait pas plus que ces trente-quatre années d'errance.
myocarde : a aimé sans le dire. sans même le savoir parfois. là est le charme de l'amour, peu importe sa nature. doté de tant de nuances et de secrets qu'il lui faudrait plus d'une vie pour en résoudre tous les mystères. mais c'est ainsi que lovia apprivoise l'amour, sans chercher à en piller les trésors.
besogne : protectrice de l'écosystème marin. a longtemps traversé les mers d'hémoglobine avant de revenir auprès des siens, sur les côtes fantomatiques de newport. entre deux dérives, c'est sa voix qu'elle laisse en naufrage dans l'écrin délicat du lighthouse. chanteuse diaphane que seule la musique fait (re)vivre.
ce personnage que tu nous mets sur pieds mais quelle pépite, j'ai dévoré les premiers mots elle est incroyable et le choix de fc qui me fait rêver, j'admire ce don que tu as de construire des personnages aussi vivants, réels et juste beaux, incroyablement beaux maintenant : on en veut plus re à la maison
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Ghost sickness, the ghosts of things that never happened are worse than ghosts of things that did. ;;
Lovia Sister
Oskar Baker
a feast of greyness
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M A R M O R I S
“ Et on les appelait mendiants ou bien voleurs suivant leur insistance à vivre. ”
trait : prudence trop grande, comme l’angoisse venue des viscères, celle de voir l’océan le trahir à son tour.
saisons : trente-quatre ans.
myocarde : aime les corps qu’il rencontre lors des soirées fauves dont il brûle ses nuits, se perd parfois dans des relations aussi courtes que vidées de substance. Éternellement, il reste mélancolique face à l’idée des amours véritables, tout en essayant de fusiller en lui l’écœurant désir d’être aimé.
besogne : longtemps marin pour les Seawolves, la perte d’un frère de cœur au cours d’un naufrage l’a depuis dissuadé de remettre un orteil sur le moindre rafiot. C’est alors comme traqueur, que les loups de mer l’ont recyclé ; sorte de Cerbère dont la malédiction est désormais d’arpenter les quais, le nez collé face à cet mer qui le nargue, le terrifie et lui manque tout à la fois.
elle est sublime et acérée à souhait, mais est-ce qu'on pouvait vraiment imaginer autre chose venant de toi ?? j'ai terriblement hâte d'en savoir plus sur elle, et surtout de voir dans quelles aventures tu vas t'engager avec elle t'es à la maison
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S U N S E T ; it felt like you really knew me now it feels like you see through me
Oskar Baker
Cathal Murdock
a c é t o n e
trait : poison empathie fait tourner l'être dans tous les mauvais sens.
saisons : trente-deux.
myocarde : pulse bête à l'agonie, malade de toutes les afflictions; d'âme fiancé mais l'indomptable battement l'entraîne à la guerre des sentiments.
besogne : enchaîné par l'patronyme, pour eux, comptable qui magouille, compte chaque grain d'or et les enterre au silence. nourrit les racines tentaculaires de l'empire, n'vole à la dérobée, que pour à la becquée sauver le monde (- se - faire justice).
BOUUUUUUUUUUUH NUUUUUUUUUUUL (ouais c'est comme ça que j'vais faire pression pour que tu nous rejoignes, yakoi rtuhrtiut) (but also trop de perfection) (but also BOUUUUUUUUUUH)
ily
Cathal Murdock
Niall Murdock
— carnal agony —
trait : complaisance morgue d'un amour-propre aux relents d'insolence. l'orgueil dégueulé des babines arrogantes, présomption d'auto-suffisance, dédain pour la plèbe et paré de la gloriole. besoin d'être le meilleur, de gagner quitte à laisser la témérité le menacer et la mort l'emporter.
saisons : quarante-deux coups dans la gueule, la carne morcelée sous le poids des années noires. quadra désabusé, fils de janvier, chiard d'un hiver ordurier qui fait frémir les ramures morcelés du démon capricorne.
myocarde : cœur d'airain fissuré par la fatalité routinière d'un amour hétéronormé poubelle. divorcé, l'amour fauché aux heures les plus merdiques de l'existence.
besogne : glock armé, soldat anathématisé, inspecteur orgueilleux à la npd.
district : cliffside, le chalet perdu dans les bois.
mais ça se dédouble encore dans la beauté. encore et toujours pour mieux nous faire fantasmer. pourquoi je sens que tu vas encore nous faire rêver avec cette beauté ? tellement longtemps que je ne l'ai pas vu indira, tu lui rends justice avec ta plume ! je te souhaite une bonne rédaction my love et surtout de t'amuser !
love u je reste dans le coin à stalker et ouais rejoins nous later.
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( CHACAL )
Niall Murdock
Avalon Raine
ice queen
« resilience »
is when two childrend have to grow up and act like
their parents didn't destroy them completely.
trait : les crocs qui se montrent quand il faut défendre, réparer, s'excuser, la ((justice)) en bandoulière pour ne jamais oublier ce qui prévaut ; l'ordre et la responsabilité.
saisons : ((cinquante-trois)) automnes passés au monde, à s'en graver des ridules au coin des yeux. cinquante trois automnes imparfaits à attendre que passent les suivants..
myocarde : absolument amoureuse des débuts d'une relation, lorsqu'elle peut enfin croire ce qu'elle veut à propos d'elle, ((célibataire)) invétérée, terrifiée des violences qui sommeillent chez les hommes, qu'elle continue d'aimer, pourtant.
besogne : (winchester)), chef de la police, une passion embrasée des années auparavant, pour retrouver du sens là où il n'y en avait plus guère.
district : ((cliffside)), la douceur qui apaise parfois, trop peu souvent.