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in the land of
gods and monsters
ocytocine sur pourpre de lippes, qu'haleine furieuse exalte en belle faim. rictus pourléché, au gré du satané-battant; ô perles de ruine, font gémir ces saints, quand toxines en sanglots rincent les infâmes. et galopent, en fumeuses susurres, les échos d'une plèbe soufflée par pandore.
Newport, Oregon — forum city-gangs sombre low fantasy, époque actuelle. réservé à un public mature et averti -18
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museum of sinners
— whose side i'm on? there lies my sanity, this is how villains are made —
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Charlie Ford
Charlie Ford
THE CURSE OF THE FOLD


VINEGAR & SALT

but sometimes
it's better to lie


trait : tachycardie amourée, en adrénaline superbe; léonine démuselée grogne et court-rage.
saisons : cortège d'aïeux en manège ritournelle pour quadriel furieux; maudite s'élance, danse sous les feux, danse avec les dieux.
myocarde : tambours en valse incertaine, pour centaines qui (l'en)lassent.
besogne : (des)astre à la cime des éhontés, perséphone porte couronne de chair; et robe de fer.
# Mer 6 Nov 2024 - 13:06

DIRTY PAWS
you want it dark, we kill the flame

   YOU WANT IT DARKER,
if you are the dealer, i'm out of the game. if you are the healer, it means im broken and lame;; @song
_____audace s’agace du néant — bête infâme quête frisson de l’âme, claque gueule sur du rien, gratte plancher pour trouver l’aubaine en géhenne. c’est la genèse des maux à conter, l’ivresse des mots à frapper. et si elle est belle aphrodite, elle est aussi l’éternelle maudite aux phalanges ulcérés. alors graine mauvaise grince bientôt des ronces, suinte atropine en fébrile autolyse. l’idée germe, et pétales bientôt font escale en enfer.

_____oh jill, belle assassine,
_____qu'as-tu (dé)fait?

_____aiguille venin croque alors intestines carmines; gourmande se love dans ses viscères, fait gerbe d’or à étendre sous escarpins carmins. acier en délice est fou criminel de belle dame pour renaissance carnassière. léonine retire velours pour caresse de griffes, et grace s’éteint pour le feu de garce. « first time here, lady? » cuir carcasse ne se meut devant pantin de destin crasse, lorgnade ne se repaît qu’à peine du flou contour qui l’aborde. « if you’re lost, maybe i can help… » soupir cherche mort sur lippes quand miroir noir reflète l’antan réellement perdu. animal scélérat s’impose alors aux mirettes fendues, et coeur dégueule son vinaigre écarlate dans sa saccade malade. écuelle à féline fait taire bourgeoise devant félon impossible, tandis que fauve tannée ronge gourmandes sanguines. « of course… he had to be there. » ronronne venin, tandis que s’étonne piquet de chair. « hell yeah miss, he run this place. how could you miss that? » how could i? car rondes azures se mêlent aux contours sulfures, dessinent la carcasse qui embrasse son vice ravivé; élan soudain l’écarte de quidam sans saveur, et l’âme caracole — s’esquinte contre buste battant, pour mieux l’échouer dans gueule ursidée.
_____« well, well, well, would you look at that? » roule linguale poison, gargarise les mots dans bain de bile; c’est qu’elle s’en délecte, de son acide suicide. « it appears that gaining freedom from prison is simpler than extricating oneself from my life. » bouquet de sens s’émerveille en belladone, tandis que l’oeillade parcourt le corps qui demandait l’encore. « shall i remain, or is your intention to mar this once again? » phonèmes en morsures chaudes, sagesse fuit les crocs chantés pour délivrer folie naissante. « oh no, i’m such a bad mouth.. this time, it seems i’m the one coming after your money. but surprisedly enough, since i thought you had none? » pataude invoque éther mauvais, tandis que céruléennes infants de belle haine roulent dans reflets malins. « anyway, i’m pretty sure you got someone else to fuck with… » palabre tranchée de linguale sabre donne deux tons, tandis que patte velours dérobe à l’autre panache d’ivresse pour baiser dionysiaque. « perhaps at last, someone more your speed... you know, one you can match. » pourlèche mots crevés dans malt sur carminées soupirantes, le défi dans l’oeil azuréen aux contours de feu.
@quinn sawyer
Charlie Ford
Quinn Sawyer
Quinn Sawyer
( K A M I K A Z E )

massacre carnivore
(( quand salive se fait sève
sur babines d'écorce ))

saisons : il se conjure, mortifère; quarante soufflées.
myocarde : l'alléché fait ô babines saliveuses! car dans sa cage d'os, faim fait pompe hideuse.
besogne : abbé-déshonneur, se pare de son auriole d'échardes; gueule béante lèche ces albes rayons pour s'hurler flamboyant.
district : rôde l'ursidé sur parterre brûlé, ombre de sépulcre en traîne.
# Lun 11 Nov 2024 - 12:18

DIRTY PAWS
you want it dark, we kill the flame

   YOU WANT IT DARKER,
if you are the dealer, i'm out of the game. if you are the healer, it means im broken and lame;; @song
sur geignards, zénith inversé écoule son jour brun comme aigreur, à la faveur d'une panse enflée. car dévorant sa lunaison, il en souffle brise indigeste. que faibles lueurs, ainsi crachées sur plancher trépigné! il s'y résonne encore l'anxieux moribond, le râle de mandibules fracturées; sale fièvre qu'ankylose les corps et rince ainsi, pareil parterre de rouge fange. c'est qu'élégie soufflée entre écorce, fait le coït des malades palpitants.

rassasié de ces milles heurts,
ursidé s'étale là, en vile tumeur.


collés aux flancs par piètres compagnons, vile animal se fait peu de gaieté de ses liasses froissées; ô sale enfant, que malin prend pour couvée! c'est qu'il jubile peu de sa gerbe malfaisante, gonfle poitrail d'ennuyeuse arrogance. gosier tapissé de liqueur, s'en fait abreuvoir somnolent; méninges divaguent, fanfaronnent dans les affres fumeuses d'une pathologie défaite.  — "well, well, well, would you look at that?" l'acoustique déchire voile, comme caprice de jupiter. museau piqué dans fond de verre, garde posture de gargouille quand cerbères s'affolent au flair de l'agresseur. — "it appears that gaining freedom from prison is simpler than extricating oneself from my life." cavalcade de maux sur linguale-luxure ravivent archives enterrées; battant s'affole alors, comme si fél(i)onne jeter encore pareille carcasse dans geôle trop souvent arpentée. fauve s'excite, gronde ce que babines gardent intime.


passé l'amer sur noires papilles,
bête décharne et s'acharne.


exhibition assassine, quand l'idole singe le kamikaze. ô malheur! il semble qu'elle soit son festin, ou la faim triturant viscères comme lèpre dévorant chair — "shall i remain, or is your intention to mar this once again?" elle abreuve tympans, de son beau monologue. — "anyway, i’m pretty sure you got someone else to fuck with…", se tarissent en phonèmes plaisants. quel ravage! car bête couve folie sans que rictus n'échappe de ses commissures. foule s'échappe, en fuyards avisés. misérable ironie, lorsque fin de lutte ne fut qu'entracte des badauds divins. — "perhaps at last, someone more your speed... you know, one you can match." joliesse mauvaise, l'en fait poison. car medusa aux iris de pierre, s'accapare désormais son attention avec sa boisson. c'est qu'elle tisse son art comme divine sur autel, stature dans son temple. et l'ursidé sans garde l'en dévore, se fait l'instant d'un latence, irrévérencieux fanatique. mirettes de neptune se gaspillent sur lippes rougies d'ambre, pourléchées de sa vile manie.

pathologie exhorte l'animal au furibond! ô sale bête, que malin soumet avec le rien. car v'là que l'ire rompt ainsi l'échine, fait parade de sa traîne de ravages cloquées. comme ours pétrissant chair de terre, il se prend d'amour pour folie qui l'habite, de folie amoureuse pour l'âme tombée sous museau. ainsi, il se jette sur festin. il en dévore ses babines, dont il s'abreuve de l'ivresse. brute de laideur, il force ainsi baiser sans manières; paluches singeant ses douces pommettes, il la coucherait presque contre tablée, jalousant jusqu'à l'éther comme essence vital. et comme il s'en eut épris, comme minot capricieux, il relâche blanc fauve quand à peine langueur se mêle aux papilles. ô misérable! c'est qu'il jubile du baiser mordu en la relâchant, sans galante comédie. — "someone more of my speed.. or my taste. -- rauque soufflé de pitrerie, l'en fait rustre de malheur quand s'affaissant sur rebord de tablée, il se repait de son saccage barbare. paluche portée contre babines, il caresse babine chaude et gobe encore son effluve; ..bitter." pathologie à découvert l'en fait devenir le pire. ô que châtiment lui brise caboche sur le champ! car v'là qu'il fait l'étale de ses phonèmes, avec ses commissures pleines de souffre. — "i'm confused.. you, ladies, aren't you supposed to age like fine wine?" allusion injurieuse, que la gausserie porte en râle déçu. car désormais, bleuets ne jettent sur pareille muse, qu'un fiel armé; brasier bleu jauge l'intruse d'un sale gel. lubrique gommé, il est l'animal lunatique de ses mauvaises émotions. crachat bruyant jeté en biais, il lui fait désormais face, jambières écartées et coudées sur rotules, comme seigneur faussement attentif. — "still looking for trouble, jill, hm? well.. i keep calling you jill but silly me, that's not your name, right? i bet you're a sarah. -- spasmes font gigote de sa pommette, car fièvre le mène comme cabot dressé; piètre comédien n'est que catin de sa folie. car à mesure que phonèmes s'égrène sur champ de mine, l'ire l'aveugle. — "so tell me, sarah: did you miss me? i for one, thought a lot about you. -- timbre s'effondre pour se mûrir caverneux, méninges pétrissant milles et une émotions, que nauséeux fait beau portrait. and since you're here, i guess princess here hasn't felt full in a long time." vaine allusion perverse, que le malsain garantit en œillade lubrique. ô malheur, v'là que bête est lâchée.
@charlie ford

_________________
(( à faim repue et soif saoule
bête s'écroule,
s'y gît en hérésie ))
Quinn Sawyer
Charlie Ford
Charlie Ford
THE CURSE OF THE FOLD


VINEGAR & SALT

but sometimes
it's better to lie


trait : tachycardie amourée, en adrénaline superbe; léonine démuselée grogne et court-rage.
saisons : cortège d'aïeux en manège ritournelle pour quadriel furieux; maudite s'élance, danse sous les feux, danse avec les dieux.
myocarde : tambours en valse incertaine, pour centaines qui (l'en)lassent.
besogne : (des)astre à la cime des éhontés, perséphone porte couronne de chair; et robe de fer.
# Ven 15 Nov 2024 - 15:02

DIRTY PAWS
you want it dark, we kill the flame

   YOU WANT IT DARKER,
if you are the dealer, i'm out of the game. if you are the healer, it means im broken and lame;; @song
_____ brasier désordre, furies crache-flammes sont fléaux et chaos sans démordre; dans purin charbon, patauge l’honneur jeté par sale preneur. panse pleine des lécheuses, bête d’audace se prépare à la gerbe adorée; s’élance pour mieux dévorer, d’une belle violence pour la revigorer. odieuse titanide à la fourrure écailleuse, s’enveloppe du manteau noircit par l’indécence tueuse,

_____et derrière l’oeil voilé, synapses avalés;

_____avalanche de raison gobée, c’est alors ch(a)hute violente, discorde des vices; escadre ravie les océans dans le noir, fait hurler plus fort satanées infamies des abysses. péchés se bousculent, et tout bascule; l’échine se raidit, carmines s’enlaidissent. malin dérobe l’opprobre contre lippes, pour mieux le vomir entre ses souffles sans mots; tandis que serres affamées de chair se perdent dans l’éther. maraude terrible, c’est un pillage des soupirs, mais une offrande du pire. quand il s’émerveille là de son crime, qu’il se vante à la cime; « someone more of my speed… or my taste — bitter. » qu’il gondole, gras de son met; bedaine galbée de ses outrages gourmands. quel laid truand,

_____linguale se délecte de nectar poison, tandis que l’oeillade lui jure mille morts pour un tort. « still looking for trouble, jill? » paume fait rouler l’éclanche pour redresser souveraine; et bottes retrouvent plancher de géhenne, sans que jamais regard ne peine. « and since you’re here, i guess princess hasn’t felt full in a long time. » rictus déguise face sans disgrâce; peint l’éclat sombre sur cruelle renouvelée. cabèche reçue par les cieux dégage crinière outragée, et ronde osseuse articule sa mélodie préface. « you really wanna play hard, quinn? » rocailles usées sont poussières vénus; mortelle animale s’avance, démence sur les crocs. quand soudain, bondit sur proie en faux roi; saisit mandibules sous doigté acier. « i’m gonna show what bitterness taste like. » haine claque céruléennes tandis qu’enfin, elle dévore grasse gueule pour unique saveur. car canine croque juteuse sans la tendresse d’antan, blesse le fauve en surenchère du baiser. et féline s’impose bientôt en heurt brutal, l’écrase contre tablée mais laisse pattes s’infiltrer en frappe d’orage jusqu’au cuir tanné. boucle saute et soudain paumes plongent dans bleu denim alors que gueule s’ouvre pour cracher son feu contre mâchoires carmines. « you feel that? and by that, i mean… » c’est la morsure de gel quand lame caresse l’autel de priape; prêt au sacrifice pour raviver maléfice. « t h a t. » caboche dégringole dans le vice, approche labres ferreuses du tympan tapé. « well let me say that you.. on the other hand (mine precisely), seems to be quite full of yourself. » linguale caresse en chant terreur, visage bientôt miroir d’un autre. « maybe you can try to apologize, see if i can release the pressure more gently… what do you think? » bleu tambour frappe regard en diapason de l’organe-roi, sous délice de possible désarroi.  
@quinn sawyer
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