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in the land of gods and monsters
ocytocine sur pourpre de lippes, qu'haleine furieuse exalte en belle faim. rictus pourléché, au gré du satané-battant; ô perles de ruine, font gémir ces saints, quand toxines en sanglots rincent les infâmes. et galopent, en fumeuses susurres, les échos d'une plèbe soufflée par pandore.
Newport, Oregon — forum city-gangs sombre low fantasy, époque actuelle. réservé à un public mature et averti -18
museum of sins v.1 — ouverture du forum au 02.11. version design du 17.09 thème new beginning par LUX.
1 apostrophedaniel daniel, captif de son intellect daniel, qui attira les regards à trop en comprendre daniel, sauvé de la disgrâce par des cieux bien cléments daniel, à l'ombre sous la ville daniel, ca aurait pu le protéger un prénom comme une prière face aux lions, aucune cicatrice, aucune griffe lui, c'est seulement qu'il a appris à mordre aussi. daniel grant. dan. danny. sa mère, trop pieuse est partie avec l'histoire du prophète elle lui a laissé son nom. ne reste plus que lui. danny
berceau il est né ici et puis il a vu des bouts d'ailleurs et il est revenu ils sont fragmentés, les bouts d'ailleurs. ils n'étaient pas à lui, ce n'était pas un choix, c'était la vie c'était comme ca. c'est les voyages qui sentent la poudre et puis le sang les voyages ou on perd bien des gens le temps libre, le temps libre, le temps à lui c'était toujours ici ailleurs c'est trop grand faudrait y trouver sa place déjà qu'il l'a pas ici qu'il l'a pas eu longtemps son père est né ici, pourtant sa mère aussi. ils sont enterrés ici, pourtant. la terre porte leurs cendres, et puis les traces de ses chaussures trop grandes.
saisons elles passent et le trépas pourrait prendre sa main. faut croire qu'on a voulu lui laisser le temps libre, le temps long, le laisser grandir au fil des saisons. il y a des cheveux blancs dans ses cheveux bruns à présent. il n'y a plus personne pour lui souhaiter les anniversaires qui passent. il n'est plus un enfant, il n'en a pas besoin, au fond les cartes et les mots gentils, à son âge, à son âge, ca ne veut plus rien dire il n'a besoin de rien. à trente-sept ans, on prends soin de soi-même, et puis un peu des autres, quitte à s'y perdre.
besogne on lui fait confiance au lighthouse on lui fait confiance pour garder les corps, au moins c'est déjà ca il connait les visages et les prénoms la musique trop forte et les écrans en noir et blanc il connaît la fumée, celle de la scène et celle des clopes il fait ce qu'on lui dit, peut-être avec plus de tact qu'attendu peut-être en prenant plus de temps qu'un autre c'est qu'il veut trop bien faire, danny. il fait la sécurité comme tant d'autres (comme aucun autre) on ne le connaît pas bien mais lui sait tout, sait trop des danseurs, des habitués, des habitudes dans les contes, on ne sait rien de l'happy end des chevaliers servants au lighthouse, on ne sait pas beaucoup plus que son nom que le soir il rentre chez lui c'est juste une ombre ici.
myocardevide y'a de l'écho quand ca bats y'a de l'écho quand il parle dans le vide, le soir y'a personne juste la solitude, étouffante, parfois on se dirait pas qu'un grand gaillard comme lui sait pleurer (on se dirait pas qu'un grand gaillard comme lui pleure souvent) il y a de la lumière, la moitié des vacances scolaires (un peu moins, en vérité) il y a de la lumière, un week-end par mois (un peu moins, en vérité) il y a de la lumière, quand le téléphone sonne (c'est rare) les draps sont refaits au carré, tous les matins les habitudes ont la vie dure les plats pour un les murs trop vides il y aurait de quoi s'y perdre il sait écouter il a oublié ce que c'était, d'hurler, d'hurler dans le vide d'hurler, d'attendre, d'espérer qu'on vienne le chercher, lui tendre la main il sait pas s'il a jamais su, danny c'est juste à ca que doit ressembler la vie, pour les gens comme lui.
2 miroir il dit rien, danny il dit rien, sur lui. il prends pas de place c'est un fantôme qui laisse pas de traces, pas de marques qui baisse les yeux sans galanterie, de peur qu'on le regarde trop de peur qu'à déshabiller ses iris, on ne trouve qu'une âme trop vide. la pudeur est une vertu, parait-il. chez lui, elle devient maladive, à en devenir invisible pourtant il est là pour les autres pourtant il écoute les malheurs et même que son cœur est bon, que son cœur y est entier qu'il fera tout pour aider, tant qu'on ne le force pas à regarder quelqu'un dans les yeux à se dévoiler trop, complet il est bien, fantôme sous son drap il est bien à sa place, et c'est étrange, peut-être, de travailler au lighthouse ainsi mais il faut croire qu'il y a une nuance, quand c'est les autres. une nuances dans un respect qu'il ne s'accorde pas à lui-même, mais à ceux qui se découvrent. pudique, à en crever, sans avoir appris à être prude.
affection à écouter les malheurs autant que les bonheurs des gens, des autres, de ceux qui vivent on se prends d'empathie pour eux. mais ce serait trop se voir dans un miroir déformé, déformant, que de se dire attiré par l'empathie c'est une part de lui trop grande, cultivée comme dans un jardin d'hiver il la remarque chez les autres, mais son aimant est tout autre dans un détail dans un oeil qui brille dans des rêves qui brûlent l'espérance c'est beau, c'est tout ce qu'il ne se souvient pas avoir jamais eu l'idée que la vie sera plus clémente l'idée qu'on peut faire mieux pour ca, il faut déjà avoir quelque chose l'idée qu'on peut être libre changer le monde les vertus révolutionnaires et les plus individualistes se voir en haut de la pyramide ou en faire des cendres il se prends pour un vampire, une sangsue de la pire espèce, à écouter ses passions là s'en veut, parfois, à écouter pour lui-même plus que pour les autres peu importe l'idéal, peu importe l'envie, tant qu'il y en a une, tant qu'elle semble tangible, atteignable tant qu'il existe pour quelqu'un il admire ce qui a pris vie, pris feu chez les autres, quand il n'y a dans son crâne à lui que des cendres.
affliction il connait pas la détestation cet homme-là il est du genre à juger personne peut-être qu'il pense trop aux autres et peut-être, parce que rien n'est jamais sûr que c'est ce qui motive sa détestation des choses du matériel de ce qui s'empile, ce qui se garde, de ceux qui ne partagent pas l'avarice aura créé un monde bien hostile aux putes, aux paumés, aux idiots elle aura incendié des guerres et des foyers brisé des familles, des consciences, des deuils et des dignité c'est ca alors, la cupidité, c'est ca, alors, qui sait le dégouter l'expression la plus profonde d'une accumulation dont on a pas besoin qui pourrait en laisser survivre d'autres envahissant serpent, prêt à étouffer sa proie prêt à avaler le monde il n'y à qu'à ceux qui oublient de voir le monde par les yeux des autres coincés dans leur tour d'argent il n'y a qu'à eux qu'il oserait jamais cracher aux visages ceux qui envoient les autres au front pour des chiffres qui dorment sous leurs matelas dans des serveurs des ordinateurs ceux qui font disparaitre leur propre humanité pour la remplacer par des objets ceux qui devraient mordre la poussière autant être invisible, c'est mieux que sur un trône éclaboussé de sang recouvert de cendres
"I make everything right everytime I leave"
format au choix (biographie, lettre, chrono, anecdotes, poème, mots clés) + pas de minimum/maximum de mots. (mais efforts remarqués pour les chefs) + à noter que ce cadre peut être utilisé autrement, + vous êtes libre d'arranger la mise en page de toute votre fiche tant que les informations demandées dans le premier cadre apparaissent.
behind the maskvisage; cliff. âge; 28. étoiles; bonne question. last words; forum trouvé au gré des top sites, sinon, il est très beau crédits; icons; favoritesonrps, avatar; soletear
Daniel Grant
Dernière édition par Daniel Grant le Lun 25 Nov 2024 - 1:10, édité 5 fois
Vinnie Sparkle
i just wanna go real hard
trait : plus, toujours plus, jusqu'au plus profond de toi ton avarice.
saisons : plus si jeune, pas si adulte que ça, l'entre deux damné. deux, sept, c'est une certitude.et tu t'y accroches.
myocarde : plus simple d'être voulu que d'être aimé et que tu n'es jamais celui qu'on aime, juste celui qu'on veut.
besogne : sur la scène, dans les draps. tous les yeux sur toi, toutes les mains qui parcourent ton corps.
rolalalalala le début de la fiche est déjà magnifique, j'ai vraiment hâte de lire la suite bienvenue de façon plus officielle, j'espère que tu vas te plaire ici encore merci de jouer daniel, on va grave faire quelque chose de beau
Vinnie Sparkle
Baz Sawyer
blood on my name,
animals, battlefields;
desert sun won't disappear.
trait : vile acédie qui ronge patience; et dévore fibreuses.
saisons : viciée, se corrode la trente-neuvième épopée.
myocarde : rétines sur chair des nymphes impures; estompent battant désaxé.
besogne : crachat de géhenne; bête noire rôde sur contrées, veille sur lupus-horde. l'amarok est sacre-mueur aux mille présages.
trait : l'égaré en majesté, la (( prudence )) outrancière de son quotidien tiraillé entre ses principes et sa volonté.
saisons : s'agrippe par ses pattes depuis (( trente-cinq )) années à survivre sur ce bitume s’effondrant par le poids d’un monde à moitié crevé.
myocarde : se contente de son caveau sans chaleur bienfaitrice, se privant d’une vie et des amours qui pourraient s’offrir à lui, évite les émotions au détriment de sa survie et d’un célibat réconfortant et isolé.
besogne : une couverture pour s'assurer la faible sérénité d'un esprit tourmenté ; parmi les (( surveillants du port de plaisance )). dans l'ombre, parasite se faufilant dans les interstices des concurrents côtoyés dans une prudence menée par son indéfectible loyauté ; (( traqueur )) pour les seawolves.
district : rôdeur des quais parmi pèlerins malandrins et flâneurs songeurs, (( portview )) comme base de sa vigilance.
omg j'ai été aspiré dans un gouffre de beauté tes mots m'ont littéralement emporté dans une tornade d'émotions y'a tellement de délicatesse dans tes mots, de tendresse aussi la vérité j'suis émue ???? ton début de fiche est magnifique, j'ai trop TROP hâte de me régaler de vos futurs rp avec vinnie, je sens le feels qui vont se retourner bienvenue chez toi avec ce personnage incroyable amuse-toi bien
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I'm like a time bomb ticking in your head Paranoia clouding your judgement
Sullivan Walsh
Aedh Murdock
gluttony
trait : à l'abri des scandales, gourmandise s'égare.
saisons : printemps déchu pour trente huitaine acclamé.
c'est si poétique, si fluide quelle plume quel plaisir de te lire, de le découvrir y'a bcp trop de bons choix par ici j'en serais outrée si j'étais pas déjà aussi conquise hâte de voir votre duo à l'oeuvre bienvenue chez toi
Aedh Murdock
Bambi Saylor
v i d e o g a m e s
THEN DEEP IN THE DARK
I FOLLOWED A SPARK
trait : (( MIAULE INCONSTANCE ))talking too much is a gift that keeps the world’s noise at bay.
saisons : (( BELLE ÉPHÉMÈRE ))horizon holds the beauty of time slipping away. magnificent, isn't it?
myocarde : (( ÉT(R)EINS MOI ))the heart beats everything.
besogne : (( ÈVE DE RIEN )) there are those who buy freedom, and those who seize it.
mais omg j'imagine déjà le duo de vos plumes c'est fabuleux on pourrait croire que vous étiez faits pour vous rencontrer ça va être sublime à lire je le sens bienvenue avec cette pépite je connaissais pas le fc mais pas déçue du détour bienvenue à toi, et place à votre lien feelsang
Bambi Saylor
Cathal Murdock
a c é t o n e
trait : poison empathie fait tourner l'être dans tous les mauvais sens.
saisons : trente-deux.
myocarde : pulse bête à l'agonie, malade de toutes les afflictions; d'âme fiancé mais l'indomptable battement l'entraîne à la guerre des sentiments.
besogne : enchaîné par l'patronyme, pour eux, comptable qui magouille, compte chaque grain d'or et les enterre au silence. nourrit les racines tentaculaires de l'empire, n'vole à la dérobée, que pour à la becquée sauver le monde (- se - faire justice).
très bon choix de pl et wow quelle belle plume ça fait plaisir de découvrir un tel perso! bienvenue à toi
Cathal Murdock
Georgina Goldy
RED MEDUSA
trait : espérance drapée de noire, scintillante de scélératesse ; amante et diablesse. colombe se love sous les vipères glacées, toute heureuse d'être protégée par le venin du sang gâté.
saisons : la nymphe moqueuse marque l'épiderme malade à l'encre huileuse, bienheureuse de sonner le glas des trente-six années d'errance de son héritière exubérante.
myocarde : carde comme chien au licol édenté ne laisse respirer les effluves de l'après. il n'y aura pas d'amour, mon aimé ; il n'y aura que l'espoir d'une existence sans lâcheté.
besogne : maquerelle des peaux assoiffées, patronne éhontée des nouvelles identités, la pêcheresse s'épanche sur les corps tatouées de la plèbe enragée. mais, sous les mues rebelles des amphisbènes nocturnes, s'articule le commerce vicié des poisons amoureusement enfantés, art silencieux des perversions commercialisées.
ok ça c'est du service rapide et en même temps, quand on lit vinnie et daniel vos deux plumes conjuguées ça promet tellement de belles choses ? je suis scotchée par la délicatesse des mots c'est fin, bref et percutant ça donne vraiment envie de plus bref, je viendrai stalker vos RP, c'est certain bienvenue à ton beau gosse, hâte qu'il nous crève le coeur
Georgina Goldy
Gevaudan Raine
c h i a r o s c u r o
exhale la nuit he moves and feels
like a Caravaggio painting, or Dalí —
steeped in surrealism and painted
with big brushstrokes of chiaroscuro
myocarde : une histoire de fantôme crucifie les coronaires. résurrection du cœur chantonne — eve. le venin vipérin injecté droit dans la jugulaire.
besogne : ex-mercenaire réfugié sous l'manteau des mots. proprio d'un café-librairie. loup déguisé, sourire aiguisé. l'horreur calfeutrée entre les pages damnées.
y'a quelque chose de fantomatique chez ton personnage comme si la vie lui glissait sur les phalanges c'est peint de beauté et de beaucoup de mélancolie je me suis laissée porter par les lignes bienvenue
Gevaudan Raine
Lewis Allingham
;; become a tidal wave,,
FAITHBREAKER
burning our mind,,
trait : loi vorace; clé de voûte d'une(( justice ))brûlante déferle et s'écrase contre rempart de ses convictions,,
saisons : blanches et noires font courirquarante-trois notesen feuilles tombées au creux automnal,,
myocarde : crève-cœur en deuil refuse de faire confiance à nouveau, joue morceausolitaireen oubli de la partition à quatre mains,,
besogne : au barreau(( avocat pénal ))joue le bourreau condamne et réclame ce qui est dû, faiblesse assumée des cas désespérés, se fait bras armé d'une juste cause,,
district : (( harbor ridge ))en intraveineuse, quartier change au fil d'une lassitude latente, jette dévolu sur lumière et effervescence d'une animation condamnée à errer sur bitume jamais se refroidi,,
mais j'aime tellement ce rythme haché, saccadé, à marquer la pause (ou en prose krkrkr) t'as fait le bon choix en t'essayant à ce personnage le duo de qualité qui se profile là ces lignes nous donnent déjà tout mais on veut le pourquoi du comment cet esprit torturé en ces lignes jetées ces dits, ces non-dits et cette lecture entre les lignes cette beauté que tu transmets dans ton récit, cette sensibilité tu régales déjà avec ce début de fiche welcome home
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bring it, a taste for irony has kept more hearts from breaking than a sense of humor ;;