1 apostrophe Caitlyn Lee vent sauvage, soufflant sans prévenir. elle est l’étoile fixe, refusant tout changement. catastrophe paradoxe ambulant, vacillant entre l'amour et la haine. âme remplie d'une fragilité non assumée, à l'espoir discret d'être un jour comblée.berceau anglaise germano-écossaise , américaine (adoptée) (tw) petit pot de fleur dont la rose fane, et ses pétales s'écrasent dans ses mains sales. intentions néfastes que son sang, sa chair reconnaît. papa. le pot de fleur se brise. l'amour des remplaçants n'arrivent pas à recoller ses fragments. ne reste plus que le silence, enveloppant la vérité d'un voile sombre. saisons 25 ans errant entre l'aube et le crépuscule, perdue dans l'ombre de l'âge adulte, comme un navire sans boussole en mer.besogne occupation. (métier, rôle au sein d'une orga, etc.) myocarde célibataire, pansexuelle. instable même dans son lit.  mendiante de douces étreintes qui pourraient réchauffer son âme. mais, glaciale à ceux qui voudraient l'approcher. je veux, j'ai besoin mais, j'ai peur. peu importe qui.

2 miroir impulsivité rempli d'honnêteté. ne craignant ni l'ombre ou la tempête. des mots tranchants qui laissent des marques, à elle, comme eux. remords pour leurs larmes, culpabilité pour les siennes. je fais qu'être honnête et pourtant ils fuient, délaissent. l'appréciation pour ce trait aussi présente que sa haine. on accepte leurs vérités mais pas la sienne. affection leurs âmes alourdie par l'acédie dont elle en reconnaît la douleur sourde. spectateur de leur vie, lassitude de tout ce mal-être. je t'aime, car elle connaît, elle voit, elle comprend. afflictionchaque fois que son regard croise le visage naïf de l'espérance, une colère sourde gronde. pourquoi croire quand tout au monde prouve l'imposture à ce trait. s'attacher à cet éclat trompeur c'est se rapprocher du gouffre du désespoir. l’espérance n’est pas une lumière, c’est une ombre travestie.